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2000 a été l'année de la mise en application des 35 heures dans bon nombre de nos entreprises et établissements agricoles. Ce passage s'est réalisé, mais pas toujours à la hauteur de nos espérances. |
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Assemblée Générale du Syndicat National L'Assemblée Générale du Crédit Agricole a rassemblé 80 % des sections syndicales. Réunie à la demande de la section syndicale d'Anjou/Maine et afin de respecter les statuts, l'Assemblée Générale a débattu de l'accord national sur le temps de travail et de sa mise en place dans les caisses régionales. |
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L'AGECIF CAMA au service de la formation professionnelle L'AGECIF CAMA - Association de gestion paritaire du congé individuel de formation du Crédit Agricole et de la Mutualité - a renouvelé son bureau. Pour respecter la parité, la présidence et le poste de trésorier revenaient cette année aux employeurs, le poste de vice-président et de secrétaire aux organisations syndicales.
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L'emploi au Crédit Agricole Les chiffres communiqués par la FNCA pour l'année 1999 sont en augmentation de 0,5 %, soit environ 355 emplois de plus pour un total de 71050 salariés (CDI et CDD). |
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Un nouveau projet de Groupe pour le Crédit Agricole Le premier projet de groupe a été élaboré en 1989. Depuis le monde, la banque et le Crédit Agricole ont changé. C'est la raison pour laquelle un nouveau projet de groupe a été mis en place pour 2000.
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FNEMSA : négocier des relevés de conclusions En cette fin d'année, il est opportun de dresser un bilan des négociations dans la branche MSA. L'année 2000 a été marquée par la mise en place du nouveau statut conventionnel du personnel de la MSA, à compter du 1er juillet, et la poursuite des négociations pour compléter le dispositif conventionnel. |
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Groupama-Normandie Depuis la parution de notre précédent numéro de l'Action Syndicale, la situation a évolué à Groupama Normandie. |
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Groupama-Alsace La FGSOA/UNSA présente toutes ses félicitations à Mme Jacqueline Toussaint et M. Bernard Ritter pour leur élection en qualité d'administrateur salarié au sein du conseil d'administration de Groupama-Alsace. -L'Alsace faisant partie des caisses de Groupama possédant une convention collective propre à leur entreprise (hors FNMA), mais ayant rejoint l'accord national relatif au Statut Conventionnel du Personnel Groupama du 10 septembre 1999, va entamer des négociations concernant l'application d'un accord de niveau 3 en début d'année. |
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Groupama Rhône-Alpes
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Groupama-Sud Accord d'Entreprise de Niveau 3 " Socle 3 " |
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- V Branches
- Bétail et Viande - Conserveries - Fromagers - Lin - Safer - Caves Vinicoles
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- Agri-Sud-Est - Fromageries Riches Monts Le harcèlement moral et psychologique
- Entav (organisme technique) |
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Négociation de la Convention Collective Nationale Une centaine de délégués syndicaux et élus du personnel, dont cinquante de la FGSOA/UNSA venant du
Grand-Ouest, mais aussi des Pyrénées-Atlantiques, des Deux-Sèvres, de la Seine-Maritime, de Oise et du Jura, ont répondu à l'appel de l'intersyndicale pour manifester à l'Assemblée Générale de France Contrôle Laitier le 15 novembre 2000 au Palais des Congrès de Saint-Malo. |
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Réflexions sur le travail de nuit Les partenaires sociaux de la branche ont pris l'engagement de négocier un accord portant sur le travail de nuit dans les trois mois à venir. Pour ce faire, le SNAPADMR a entrepris un premier travail de réflexion sur ce point qui aboutit aux premières orientations suivantes : |
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Actifs, vous avez adhéré à la
FGSOA/UNSA. |
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A l'appel de la CES (Confédération Euro-péenne des
Syndi-cats), l'UNSA s'est fortement mobilisée lors du sommet européen de Nice le 6 décembre dernier pour faire avancer l'idée d'une Europe sociale. Elle a montré qu'elle était bien la troisième organisation interprofessionnelle française par le nombre de ses manifestants, elle a aussi montré que l'Europe est au cœur de son projet et de ses valeurs. |
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LA RÉGIONALISATION
FERROVIAIRE 25 et 26 septembre 2001 Intervention
présentée par Jean-Claude BARBURANT Après trois années consacrées aux expérimentations, la loi Solidarité Renouvellement Urbain a inscrit dans la législation française le principe de l'extension à l'ensemble des régions tout en conservant à la SNCF son statut d'opérateur unique. Les premiers bilans positifs en terme de fréquentation et d'augmentation des recettes ont démontré que le service régional de voyageurs pouvait se développer dès lors qu'il était renforcé et que le matériel était modernisé. En reconnaissant aux régions la compétence pour organiser le service public ferroviaire des transports de nombre de nos concitoyens, l'Etat reconnaît la nécessité de rapprocher les services publics de leurs utilisateurs. Cette décentralisation pose question aux nouvelles autorités régionales en terme de transferts financiers. L'enjeu économique est important, le budget transport sera le second en volume dans de nombreuses régions. Celles-ci ne veulent pas revivre l'expérience des lycées. Pourtant le projet d'avis évoque à peine la nécessité de remettre à niveau le parc de matériel disponible. Son âge moyen et sa vétusté sont sous-évalués par l'Etat notamment dans les régions qui n'ont pas bénéficié de la dynamique des régions expérimentales. Le projet d'avis insiste sur les enjeux de la régionalisation tant pour les usagers que pour les acteurs concernés: SNCF et autorités organisatrices. Ses préconisations nous semblent de nature à améliorer le service rendu aux usagers. Sur le sujet sensible de la continuité du service public et son volet conflictuel relatif à l'exercice du droit de grève et à l'instauration d'un service minimum, l'avis a su éviter les idées toutes faites. Il convient en effet de relativiser la part des conflits sociaux dans la mauvaise exécution du service. Les actes de malveillance, les agressions d'agent ou d'usager provoquent plus de perturbations que les grèves. L'UNSA rappelle son attachement aux services publics et au principe de la continuité territoriale et de la continuité dans le temps. Cela passe par des procédures négociées, entreprise par entreprise, débouchant sur un accord. Nous partageons donc l'idée que la SNCF doit améliorer son efficacité en terme de dialogue social tout en soulignant que l'entreprise n'a guère de marge de manœuvre contrainte qu'elle est par le poids de la tutelle de Bercy. Il est un point peu développé dans l'avis et qui est de nature à compromettre la réussite de la régionalisation. Il s'agit de la disponibilité des sillons et des règles de priorité qui seront retenues par le futur organisme chargé de la répartition des sillons dans le cadre de la Directive européenne 2001/14. L'état de saturation du réseau au niveau de certains nœuds ferroviaires impose des arbitrages douloureux entre les demandes de Grandes Lignes, du TER et du Fret. Si l'Etat veut concrétiser sa volonté de développer le transport collectif de voyageurs et de rééquilibrer le transport de marchandises au profit du rail, il devra trouver les moyens d'investir dans les infrastructures ferroviaires. Pour l'instant les montants des contrats de plan Etat/région ne sont pas à la hauteur des enjeux. Les régions ne seront pas en capacité d'assumer seules ces investissements. Enfin, le projet d'avis évoque de façon contournée le projet de règlement européen. Il faut être clair. Pour les transports, celui-ci vise à introduire l'obligation d'appel d'offre chaque fois qu'il y a obligation de service public. Ainsi, tout se passe comme si la notion d'intérêt économique général ou d'obligation de service public, bien que reconnue formellement, devenait obsolète: la concurrence étant réputée régler naturellement la question par les procédures d'ouverture du marché. Déjà, lors de la présentation de l'avis sur " Les services publics organisés en réseaux ", l'UNSA avait exprimé ses craintes au sujet des bouleversements que pourraient subir les services publics locaux par la mise en reuvre de ce projet de règlement européen. Pour l'UNSA, il serait inacceptable que la Commission européenne s'ingère dans la gestion des collectivités locales, mette à malle principe de subsidiarité et affirme la supériorité présumée de la gestion privée. Malgré ses imprécisions et ses lacunes, le projet d'avis apporte un éclairage utile à la mise en œuvre de la régionalisation. L'UNSA approuve le projet d'avis. |
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Pérenniser les retraites par répartition Avec l'allongement de la vie et la baisse de la natalité qui affectent à des degrés divers tous les pays d'Europe, l'avenir des retraites est devenue une préoccupation sociale et politique majeure. - Création d'un fonds de réserve
Le Conseil d'Orientation des Retraites Le Conseil d'Orientation des Retraites constitué de repré-sentants des partenaires sociaux, de parlementaires et de personnes qualifiées, annoncé par le Premier ministre le 21 mars 2000, s'est mis en place le 29 mai. C'était une proposition du " rapport Teulade " émanant du Conseil Economique et Sociale. L'UNSA y a un siège.
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